L’occlusion parfaite n’existe pas. Ses origines sont naturelles ou acquises (stress, accident, extractions dentaires, etc.) Et la malocclusion reste gérable tant que n’apparaissent pas de parafonctions. Mais lorsque ce n’est plus le cas, il n’est pas évident de relier les tableaux cliniques avec la malocclusion. Comment faire ?
Lombalgies, cervicalgies, migraines, vertiges, acouphènes, crampes dans les mollets, fibromyalgie, etc. Les patients souffrant de douleurs chroniques peuvent présenter jusqu’à une centaine de symptômes. L’occlusion de ces patients peut être la cause de ces symptômes. Mieux connaître les mécanismes et la neurophysiologie de l’occlusion est alors une compétence indispensable à ces situations cliniques. Première étape, et c’est un réflexe ostéopathique, maitriser l’anatomique fonctionnelle de l’articulation temporo- mandibulaire.
L’intégralité de cet article est à lire dans L’ostéopathe magazine #28