L’ostéopathie structurelle est-elle une pratique harmonisée ? Comme bien souvent en ostéopathie, la réponse est… non. À chacun sa définition, son concept, sa pratique. In fine, l’ostéopathie structurelle s’étend bien au-delà de ses fondements biomécaniques. Voici un tour d’horizon de différentes pratiques.
Un dossier réalisé par Reza Redjem-Chibane
Si les principes biomécaniques sont plus ou moins proches lorsqu’il s’agit de définir l’ostéopathie structurelle, les domaines d’application sont quant à eux très variés. Tout tissu étant structure pour David Lachaize, ostéopathe DO et fondateur d’Ostéo-Evolution, son approche structurelle se veut tissulaire. Il est rejoint sur ce point par Loïc Leprince, ostéopathe DO et fondateur de Form-Ostéo, qui intègre la notion de fascia dans sa pratique de l’ostéopathie structurelle. David Dessauge, ostéopathe DO et directeur adjoint de l’école d’ostéopathie Ostéobio, va plus loin à partir de cette association tissu-structure. Pour lui, toute l’ostéopathie est structurelle dès lors que l’on impose des forces sur des structures.
Personnaliser ses techniques
Sur des bases plus classiques, Jean-François Pérot, ostéopathe DO, kinésithérapeute et responsable pédagogique de l’école d’ostéopathie IFSO/EFOM-Fondation Boris Dolto, définit l’ostéopathie structurelle comme mécanique et à différencier de l’ostéopathie fonctionnelle qui s’intéresse plus aux tissus et de l’ostéopathie crânienne.
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